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Au final

by FRVsens

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1.
(AJT) Au final, on n’se débarrasse pas d’ses problèmes, on les oublie Comme on zappe lâchement un ami pour serrer une groupie tant de problèmes deviennent dérisoires lors du dernier soupir Pas d’joie sans tristesse, pas d’plaisir sans souffrir Prédestination, genre Jean Calvin spectateurs d’nos vie depuis les gradins, on fonce vers l’ravin Les catastrophes du présent deviendront des souvenirs A quoi bon ces coups d’speed? Faire la gueule au lieu d’sourire? Mourir ou l’ouvrir, j’ai choisi, je suis bavard à l’excès Vexé parce que trop sensible mais j’fais pas exprès Dans l'extrême, des victimes d’aujourd’hui sont nos futurs bourreaux On court au désastre, liberté cramée aux fourneaux Des yéménites crèvent sous les bombes quand tu bois l’apéro Trop tard pour remettre le monde en ordre, à plat, à zéro Au final, ce monde n’est pas pire qu’avant Mais les foules préfèrent écouter les fous plutôt qu’les savants (Fond'1mental (le x)) Rien à gagner, rien à perdre, j'en tire les mêmes conclusions mes convictions sont sans confusion malgré les contusions au final , rien a foutre du matériel puisque je vais tout laisser, j'suis pas de ces fous qui matent derrière au final je peux mourir puisque j'ai connu le don de la vie puisque je l'ai transmis l'ami, connu le froid polaire la Transylvanie des trous desquels j me sui relevé, des clous sur mes roues connu la déroute , la joie sur mes routes lorsque j'ai guéris d'anciens traumas, lorsque j'ai mis de coté mon mental au final j’ me sens toujours seul, je me mens pas au final je reste toujours aussi sensible donc j'en parle au final je t'en veux pas même si j’en ai souffert au final pardonnez moi si on s'est pas compris j'ai toujours eu une une vision à part, j'voulais pas qu'on trime j'veux aimer sans décevoir et donner sans recevoir se voir vraiment est un devoir, un vrai visage que l'on tente de percevoir ---- (Fond'1mental) le combat final , les pieds dans les flammes l'espionnage , la fumée ( ad dukhan ) , al jassous l'humain 2.0 épigénétique sous étiquetage , sans éthique mon sujet est profond, comprend qui comprendra la trame le drap se jette , on apprend rien des drames / je ne suis qu'un mendiant, je ne suis qu'un nomade qui cherche le bout d'un miroir éclaté quasi innommable le miroir de la vérité jusqu’à en avoir un morceau pour le chercheur de science sache que la mort sauve (AJT) Encore plus de questions sans réponse à 30 ans qu’à 20 Route interminable, buts jamais atteints La beauté d’la création brille comme l’étoile du matin J’vise l’équanimité, devenir hors d’atteinte L’envie est nocive comme l'absinthe, naturel, pas d’feinte J’veux trouver l’issue dans ce labyrinthe J’m’envolerais même si la porte de la cage est fermée J’combatterais sans donner un seul coup, désarmé Frissonnant devant l’infinité de l’espace/ temps Distances insaisissable comme l'ère de Plank
2.
(Fond'1mental le x) comme s'il s'agit du dernier, on donne tout pour le tout le fric , la zik , le shit , les flics , les filles un monde où tout tourne autour a qui est ce le tour , la réalité matricielle primitive nous pousse a fait de nous tous des esclaves, animal qui manie mal la gestion de la force obscure comme Tony et Mani man en bas des tours ça prend des coups , sans détours les frères détournent le réseau est en place ça crie "harra" ouais on s’dit tout l'argent facile fascine , on donne le tout pour le tout à la fin ça rafale en 11-43 on récolte le doute pour le coup iblis est de la parti , les frères tah l'époque déconnent décollent , ça plante le décor, à la fin on entoure des corps les frères tablighs font le prêche, les tournées dans les quartiers la résine planquée dans les crèches, entourée et bien gardée le mal se tue avec l'amour comme dirait Ali et moi j’dépeins une réalité comme Salvatore Dali chez moi y'a les toxicomanes , les trafics de stups la misère sociale fait que des nourrices s’décuplent ya ceux qui travaillent pour les flics du sud, les indics en planque les micros sous les voitures , les indices on plantent (AJT) valeurs inversées, monstres glorifiées Kaïds sadiques devant un monde horrifié Mecs fourbes, troubles, qui mènent des vies d’fou! Qui tiennent dans la durée comme Difool Fours lucratifs, guetteurs terrorisés Gosses en Cayenne, zones ghettoïsés Commande en drive au “Fourgeur King” immense forêt de béton couleur grise Douleur vive, Les looseurs tisent, décadence, danse du feu, on trucident les balances Réservoir de voix Bleu Marine Faux plan argent facile, vraie famine La ville prend l’allure d’un asile, kétamine manque de sommeil, besoin d’vitamine On prends pour réel c’qu’on s’imagine Vie citadine, tout s’dynamite On veut tous l’épée d’Excalibur Héro providentiel quand l’Etat titube Entre riches et pauvres, l’écart qui tue les services publics qui capitulent l’économie parallèle triomphe Avec sa violence extrême, triste, sombre Jeunes meurtris, choc post traumatique Argent sale blanchi au lavomatique Entre vice et vertus, vie acrobatique Oligarchie aux airs démocratiques Aliénés dans une (vie qui va trop vite Arrogants comme Ibrahimovic On peut mourir jeune: Brittany Murphy Cœur libre, les ascètes prient la nuit, heure fixe Soumis, les gens dilapident leur fric Pendant qu’une élite consolide son mythe
3.
(Fond'1mental) sur ta maman une larme sur les joues Béni soit cette nuit où tu as vu le jour tu étais une quête , un rêve réalisé Mon cœur réanimé au sein d'une dur réalité les enfants sont l'ornement de cette vie un trésor incomparable remplaçant tout vide tellement faible , mais en même temps tellement puissant tellement pur , tellement fort et innocent, puissant Dans mes recherches je t'ai donné le nom de l'étoile de la grande ours Comme une lumière m’éclairant dans une grande course Ta sœur elle porte le nom de la reine de Saba Aimé de Salomon, C’est la guérison qui s'abat au femmes de ma vie j'voulais dédier c'titre A la foi j'veux qu'le vivant les destine hommage a elle tellement magique lorsqu'elle m'aborde personne ne peut quantifier ce qu'elle m’apporte faudra être courageuse , la civilisation est en déclin chaque jour est un cadeau , chaque jour un de nous s’éteint travail avec vous sur le ressenti a défaut de l'intellect j'construis pas votre matériel , cultive votre intérêt autour du travail sur la foi et de l'intelligence innée pas celle d'iblis pas celle du futur , du passé en nous toute la science est cachée, faudra faire l'effort bien ancrer ces fondements et les représenter fort la sincérité dans l'intention, pour l'ascension faire attention à développer l’amour pour la création . travailler pour la justice le bon comportement l'humilité comprendre qu'on est un dans la multiplicité j'écris ce message comme si demain j’allais être un défunt mon amour pour vous est éternel, ne connaitra n'y barrière n'y fin (AJT) Ton sourire m'apaise après une journée laborieuse J'te vois joyeuse, J'te vois pétillante, J'te vois heureuse J'te lis tchoupi l'soir, dans une lumière tamisée Toujours à l'affût pour rire pour t’amuser effrayée par un chien, tu peux vite baliser dans les rayons d’jouets, tu veux tout dévaliser Déguisée en blanche neige, en princesse, en chinoise Au fil du temps on s'decouvre, on s'apprivoise J't'eclaire le chemin et c'est toi qui décide où aller Rire ou râler, t’es ma reine, personne pour t’égaler Tu donnes un sens à mes choix quand j’pense m’égarer Définitivement en connexion, rien n’pourra nous séparer Instinct paternel, faut que j’te protège, que j’ t’arme Couche tard, c’est chaud quand à 5 du mat’, tu brailles pour affronter c’vacarme, à chaque exploit, j’t’acclame Et tu chiales, je suis dans le flou, je suis devant le vague tu trifouille le téléphone de maman, teste ses applis tu marche en riant dans les flaques sous la pluie Au calme dans ta cabane, ton coin d’paradis Profite de ton enfance avant qu’les soucis te parasite Tu verras, la vie sera à la fois douce ou abrasive Je veux que tu maîtrises les trucs essentiels, les basiques Qu’tu t’méfie des hypocrites au sourire en plastique Fantastique, tu réchauffe mon cœur quand c’est l'antarctique
4.
(Fond'1mental le x) Hommage à l'humanité, car la route est raide crois en tes rêves même enterrés tu vois qu'il faut que je parle la frère / 3 le futur effraie transmet la peur mes principes les freinent /4 je juge pas ces gars qui partent a frêne /5 plus on avance plus les gens pensent a s'jetter par la fenêtre pourquoi ? car la vie est dure le système impose ses règles et l’avenir est rude acceptera tu les vaccins aux cristaux liquides? la puce RFID ne sens tu pas qu'il y a un profond litige l'humain mérite une médaille pour vivre son humanité pas facile de se trouver dans ce flux d'informations pas facile de comprendre le chemin de l'humilité quand on s'est pas aimé , informe la nation on culpabilise quand on ne sait pas pardonner peut être qu'avant de prendre on devrait commencer par donner Quand on cherche et qu'on trouve pas on apprend la patience la mort nous libérera, nous fera parvenir la connaissance depuis l'essence comprendre que rien ne commence comprendre qu'en fait qu'il n'y a que lui qui commande que le cosmos est la poussière perçue par la lumière du très haut qu'en se détournant du vivant on s'attire les fléaux au sein de la république maçonnique , les valeurs sont inversées la décadence devient sacrée, la piété est a bannir en société Refrain (Fond'1mental le x) la quête est gigantesque l'époque est elle un test ? hommage a ceux qui trime dur frère une vie rudimentaire
5.
(AJT) Le même détachement vis à vis d’mes amis et ennemis La maîtrise de soi ouvre des perspectives infinies Impunis - des criminels meurent de vieillesse ou maladie Nazis exilés en Bolivie, Ben Ali en Arabie FRV, énergie intacte, toujours engagés Traverse le temps avec un mic, d’la VHS au HD ex confrères artiste partis en HP carrières stoppées net, un goût d'inachevé Dédicace à Sayko, session musique en nocturne Je suis extatique comme un junk sous drogue dure Tout dans l’émotion, loin des accords toltèques technique et conscient, Molotov cocktail Philosophes austères, Des killos d’s’strophes offertes 20 ans de Rap, je suis un Dinosaure, j’pose frère avec plus de sagesse mais autant de vivacité Déter comme un repenti qui fuit sa Cité
6.
7.
(AJT) On a beau croire l’inverse, on n’a pas la maîtrise sur grand chose J’voulais qu’mes parents soient fiers, réaliser des trucs grandioses Dans cette vie et dans ce monde, seuls les morts se reposent Les extrêmes s’opposent et des fanatiques s’explosent Quand j’pense naïvement prendre d’l’avance, en fait, je recule Panta rhei, la nature est parfaite, les choses se régulent, s’annulent J’ai grillé des étapes, mis des points avant les virgules Trouver son équilibre, c’est un constant travail d’Hercule Je recherche l’air pur, mais c’est pollué partout Mac Do, Amazon jusqu’aux villages papous Entre potes, l'argent est l'ingrédient qui casse tout Kaput, j'ai plein d’cartes en main mais aucun atout A tour d’rôle, on fout l’feu à sa propre vie, à la fou Foudroyés par le nihilisme, le cynisme des jaloux Les temps sont durs pour les pacifistes fraternels autodestruction de la terre mère, autocrates paternels Néo monarques mégalos comme Poutine ou Erdogan système inégal derrière un I Phone ou une paire de Nike Mélomane depuis les premières rimes grattées à Villeurbanne observateur des déviances de l’hommes comme sur Reeperbahn Les indésirables désertent la route par peur d'se faire écraser, barges S’faire taser, gazer à coup d’lacrymo, coupés au montage Monde barge avec des cercueils sur l’monte charge Chars d’assaut contre rêveurs fleurs aux fusils, sur leur nuage C’est le naufrage du Titanic et il manque des canots de sauvetage Labyrinthe infernal, la réalité ressemble au pire des cauchemars On naît marqué avec des codes barres, sa ration, sa quote-part Tu passeras à côté du bonheur à croire qu’la délivrance est autre part (Fond'1mental le x) Le système broie des vies, croit en du vide le gens ne sont plus humains et ont du vis des réseaux souterrains infiltrent la société crée de la misère sociale , les soucis étaient et seront l'intelligence artificielle c'est sauron des gens meurent de froid en cette période hivernale ça fait hyper mal , ils finiront dans des "faits divers" man des jeunes se prostituent cherchant l’appât du gain facile Puisque l'on conditionne la femme à un devenir, un objet qui fascine d'autres le font car drogués au crack sur la colline et c'est un cercle vicieux, abonné au drame et alcoolique moqué il traque la moindre issue de s'en sortir mais la dépendance tue les maigres espoirs sordides certains divorcent aussi et c'est la chute , la descente la violence, le traumatisme fabriquent de la démence plus aucunes possibilité de voir ces enfants, la tête tout se bouscule une décision arbitraire d'un juge et c'est une vie qui bascule plus de liens familiaux , marginal social le quotidien dormir dans des sous-sol ,faire des sous sales marcher jour et nuit, mendier, prendre le bus, le métro tuer le temps, chercher à manger, chercher des mégots il y a aussi ce punk qui refuse l'esclavage, qui réfute le clivage qui cherche a être libre , mais qui se construit sa cage il y a les bons , les mauvais les gens qui les aident vraiment les associations qui participent, les services sociaux qui détruisent il y a les gens qui s'intéressent aux problèmes , des gens qui font semblant des gens qui parlent avec le cœur, des gens qui parlent avec l'argent sous directive du directeur ce jeune orphelin se fait frapper en foyer il y a mêmes des réseaux pédocriminels envoyés qui les sacrifient au nom de quoi ? c'est une autre analyse un autre débat, le réel une zone de non-droit l'injustice est de tout part s'il y a des victimes y'a forcément des coupables la réalité est dure faut apprendre a esquiver quand un coup part c'est le combat entre l'équerre et l'compas, AJT j’crois que pour eux ça compte pas
8.
(Fond'1mental "le x") parfois je me sens aspirer comme pris par une force du mal a respirer comme pris par une forme de malaise au niveau de la cage thoracique voir la mort et les ténèbres ça saccage tes racines parfois j’repense a ce jardin blessé et triste la ou plus rien ne poussait j'y ai laisser mes tripes on a parcouru du chemin de 2007 a 2020 des wasswass inexprimable toujours envie d'en flinguer un moi je te parle d’expérience de vie simple la vie n'est qu'une épreuve j'te donne mon avis zink la ou plus rien ne poussé j'ai rencontré le vivant celui qui ne meurt jamais , celui qui s’est fait évident connu l'enfer du jardin des peines j’suis pas un gars festif , respecte le destin des paires on comprend vite l'essentiel quand on a connu des pertes dans les yeux de sohane et balkis j'ai reconnu des perles le passé était trop dur les frères , j'ai ressenti le fer laisse moi tranquille maintenant j'ai trop rempli les verres j’suis venu te parler de nos vies avec la vision d'un ex autiste comprend pourquoi mon art n'a pas de saveur exotique des exercices intérieurs, des trauma qu'on exorcise une aura particulière , une âme qu'on examine (Fond'1mental le x) J’délaisse ce monde comme ceux qui ont en compris le sens En effervescence primitif l'humain court après le sang La technologie sans conscience nous mène droit dans un mur Cœur dur , la larme ne coule plus le diable murmure Immature on succombe à ce qu'il susurre : des insanités Les entités néfastes voudraient qu'on sombre c'est bien ça l'idée par injustice ces enfants donnent leur dernier souffle Le parfum des jardins de nos ruelles ont une odeur de souffre Ce monde par en fumée, HPI ont devrait tous l’être Au milieu du vacarme, reçoit ce couplet comme une douce lettre Un mal être qu'une ultime errance comble Chaque intention pesé le jour où on va Rendre compte (AJT) Mon jardin des peines est devenu un terrain vague L'humanité va se crasher contre un mur sans air bag Bagarres infinies à gaza, Kaboul et Bagdad A Gotham, y’a beaucoup d’opportunistes mais peu de Batman Manars précarisés, le dos brisé, quand c’est la quille A qui la faute? Qui envoie au front des gars en treillis kakis? Les ingrats retournent vite leur veste, insultent les harkis trop d’guerres sans fin comme entre indiens et paki’ Les suprémacistes veulent se planquer dans l’maquis même en temps de prospérité, la paix est rarement acquise Dans l'jardin des peines, on creuse nos propres tombes des galaxies au proton, le mystères d’l’univers reste profond On fanfaronne sous le soleil, un répit entre 2 tempêtes j’pète la forme, la rage de vaincre, malgré les défaites Dans l’jardin des peines, les extrêmes cohabitent, s’affrontent Les oubliés stagnent quand décollent ceux qu’on l’bras long --- (AJT) Rendre compte au moment de traverser l’autre rive- de nos gloires et nos crimes, nos actes passés au crible Chaque acte ici et maintenant va compter dans la balance Entre les bons, les mauvais, j’vois au delà des apparences Parent dans un monde où d’autres refusent d’enfanter Comme hanté par un futur obscure, négativement commenté Discours du retour au temps d’un paradis perdu, exalté Histoire planétaire, poussière à l’échelle de la voie lactée Pour survivre dans cette jungle, il faut constamment s’adapter
9.
(Fond'1mental le x) comme l'indien sur la vallée je médite sur nos conditions l'humain peut il faire mieux ? la peur brise telle nos convictions? la marque de la bête apparaitra elle ? verrais je des hologrammes dans le ciel ? l'antéchrist ne serait il pas l'intelligence artificielle ? les politiques veulent resserrer l’étau car les gens se questionnent plus de répression je me méfie de la gauche franc maçonne la politique est sournoise et vicieuse comme lors de la guerre de récession l'esclave ne fut pas libéré mais mis en domestication pourquoi acceptons nous le maitre et sa laisse dieu nous a fait libre, l'addition est salée connais tu le projet MK ultra le projet blue beam agressif les messages subliminaux gère l'inconscient collectif les 666 infiltrés lors du protocole de Toronto par serge Monast mon rap une propagande, ne me demande plus comment j'me sers de mon art Les religieux de ce monde manquent de sincérité j'n'arrive plus à créer l'équilibre , cherche t-on dieu ou le pouvoir? celui ci ne sera jamais a coté d'un cœur hypocrite la vie est courte, la vrai connaissance ne traverse pas l' hypophyse mais touche le cœur de gens vrais la vérité et son chemin demande courage a travers les soucis que l'hombre pourraient engendrer et quant est il du défi du vivre-ensemble? le capitalisme nous individualise au point qu'on finissent ivre en cendres laissez moi m'élever du béton je vise les étoiles et le communique Et vu qu'ici chaque âme est vu comme unique Chacun a son rôle a jouer et une destinée à mettre en avant , L'humain va dans un mur , pourtant il croit qu'il avance Disons qu'il avance dans le mur l'égo régit les actions Et le pouvoir en place définit l'exaction Aucun parti ne me représente vu que personne ne cherche l'amour Pourtant c'est l'unique chose qui peut éteindre le mal Pourtant pour construire leur ordre ils ont mis tout en œuvre Car tout le monde est dans l'égo comme je l'ai dit tout à l'heure Les médias streaming sont influencés, C News BFM Et la débilité ambiante, se traduit sur la FM Alors on se dirige vers quoi vers la France à Le Pen ? Parce qu’ils fabriquent le consentement , manipulent nos peines Investisse des milliards pour le "Hell on Hearth" A leur vrai soit ils veulent pas faire honneur Travaille sur l'implantation robotisé comme Elon Musk (AJT) Détendu, détaché, si petit devant de si grandes étendues Des douleurs que je portent mais je ne les sens plus Lune lumineuse et ciel étoilé me rappelle mon insignifiance Frisson devant l’univers infini, un vide immense Distance dans l’espace/ temps qui atténue la souffrance France en eaux troubles, sous menace terroriste tout l’temps Lanceur d’alerte, libre penseur comme Julian ASSANGE Soumis à la loi du Karma, sous l’œil des archanges Le succès ne sourit pas forcément aux plus méritants tentations permanentes, entre bien et mal, hésitant Tous uniques donc y’a pas d’but évident Lutte trépidantes, lutte de Titans, défi excitant J’endure la souffrance comme un renonçant pénitent, J’aspire à la plénitude majestueux tel un pélican Spirituel et rationnel, croyant non pratiquant Déiste sans église, loin des dogmes du Vatican "Cantique des cantique rap" dans une monde post Covid où les collapsologues veulent vivre comme des troglodytes Dans ce "monde d’après", nous sommes des cobayes, des prototypes les enfants du futur naîtront peut-être sans sperme ni ovocyte La terre meurt, le GIEC prédira bientôt l'autopsie Guerres et paix en dent d’scie, un virus corrosif Vif comme l'éclair dans un monde sombre comme la matière où les pauvres marchent et les nantis voyagent en classe “affaire” Quand la nuit tombe, les loups qu’ont les crocs rôdent Envieux des pseudos gagnants qu’ont les bons rôles Le climat change, on voit les dégâts collatéraux terreau haineux fertile, faut qu’on reparte de Zéro
10.
(AJT) Phénix, un être peut ré-apparaitre comme Jésus Christ C’est pas cette vie ici bas qui nous livrera une vraie justice Lucide, j’analyse les signes, décrypte les non-dits, les silences La combinaisons de milliers paramètres rend logique les coïncidences Dans mes virées nocturnes de jeunes adultes j’ai erré des kilomètres chercher un peu d’chaleur, aligné 3 mots d’anglais à des filles au paire Belle comme J Lopez, perdu - trop d’options de vies différentes sur un banc, sous la pluie battante, les soirs où j’ai pris des vents Déviant en quête d’nouveauté, dans la gueule du loup, d’ses coups montés témérité suicidaire, des destinées tragiques à raconter Sans compter, les artistes torturés passés en HP au Vinatier En marge d’la réussite, parcours qualifié de vie ratée piratée par ses propres esclaves, la matrice est sclérosée visions d’experts fossés, mythos surdoués, Kaiser Söze Virée nocturne, oscillant entre excitation et résignation Mélange d’action et de contemplation, de baston et de méditation j’pensais musique H24 ou presque, clairement obsessionnel Commercial pour FRV, musical concessionnaire Souriant, ton débonnaire, ces moments c’était du bonheur J’avais ma feuille de route, mes limites, mon code de l’honneur (Fond'1mental le x) Te souviens tu de ces soirées sur les bancs frère A cauchemarder les yeux ouverts ou à rêver à rien faire Le destin nous fait passer par moult chemins Ça a construit nos principes ,ça nous a rendu humains Est ce que tu les regrettes, est ce que tu en es nostalgique toi ? On a connu le mal-être, à cette époque je cherchais une voie Après un violent trauma a suivi un éveil brutal J'ai cherché à calmer cette vague d'émotion me suis nommé fond1mental J'ai cherché l'amour j'ai souvent trouvé l'inverse Incompréhension globale goûté au soleil, souvent à l'averse J'ai trouvé du réconfort auprès des frères en marge de l'argent Les gens ne me comprenaient pas, je comprenais pas les gens J'ai écris nuit noir alcoolisé sur un banc blouson de cuir Préparer nos concerts de Couzon à Cuire Connecté le poto Sayko , déguster les mélodies de piano Bonnet noir comme à l'époque du rat Luciano --- (AJT) Dans l’froid hivernal à freestyler sur des bancs dans des squares Naïvement encensés par des mythos qui vendaient d’l'espoir Auto-puni à rejeter les règles, marcher dans la marge Lacher des pavés dans la marre, Fâchés, dans la rage! C’est quelques déceptions mais beaucoup de barres de rire Un mélange contradictoire d’euphorie et d’mal de vivre
11.
J'écris les pensées qui me traverse / Mes joies , mes erreurs mes travers / Je pense donc je suis , j'affronte où je fuis / 29 08 84 j’vois le jour / J'en pleure car les rayons de la vie sont sans abat-jour / je porte génétiquement les blessures de mes ancêtres / je pense à mon arrière grand père que les traumas encerclent / mort seul après la guerre victime d'image destructrices / j’pense aux cicatrices , a ceux que les psy attristent / je pense à ma grand mère qui a vécu seul qui a assumer / je pense a c'qu'on a réussit et a c qui nous a consumer / j’pense a ma jeunesse parti en joint de fumée / au temps ou me suis tu au temps ou j’ai parlais / j’pense aux fois ou le monde ma tourné le dos / j me suis rarement trahi , j’analysais nos maux / j’pense au brouillard , j’pense aux amis que je ne vois plus vraiment / j’pense a être dans l’instant a cque j’aurai pu faire autrement / Je suis moi et eux tous a la fois / Je suis lui je suis toi / refrain au fond de moi quand j’y pense on porte le poids du silence / l’histoire est marqué dans nos gènes la pour résoudre ces problèmes / j’pense au temps qui s’écoule a la mort qui m’attend j’pense à la lumière aux ténèbres à mes 20 ans je pense à la famille résistante de la guerre d'Algérie des personnalités publiques devenu égéries j’pense à toutes ces causes aux conséquences multiples je porte toute l'histoire dans mes gènes j’voulais t’en parler et t'être utile je suis le sourire je suis les pleurs je suis celui qu'il faut nourrir lorsque a peur je porte mon patrimoine qui parfois me mutine nous sommes en 2000 et les questions me mutilent Je suis pale et me morfond dans le mutisme je roule en roue arrière crevée sans rustine je cherche et ne trouve pas , annonce le début de ma disserte divorce du système et discerne une réalité ou le visse ère ou on se demande a quoi le fils sert dieu m’attire a lui je le sens dans mes viscères je suis la complexité de ce monde intérieur

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released May 28, 2022

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