1. |
Au final (feat. Kazodah)
04:11
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(AJT)
Au final, on n’se débarrasse pas d’ses problèmes, on les oublie
Comme on zappe lâchement un ami pour serrer une groupie
tant de problèmes deviennent dérisoires lors du dernier soupir
Pas d’joie sans tristesse, pas d’plaisir sans souffrir
Prédestination, genre Jean Calvin
spectateurs d’nos vie depuis les gradins, on fonce vers l’ravin
Les catastrophes du présent deviendront des souvenirs
A quoi bon ces coups d’speed? Faire la gueule au lieu d’sourire?
Mourir ou l’ouvrir, j’ai choisi, je suis bavard à l’excès
Vexé parce que trop sensible mais j’fais pas exprès
Dans l'extrême, des victimes d’aujourd’hui sont nos futurs bourreaux
On court au désastre, liberté cramée aux fourneaux
Des yéménites crèvent sous les bombes quand tu bois l’apéro
Trop tard pour remettre le monde en ordre, à plat, à zéro
Au final, ce monde n’est pas pire qu’avant
Mais les foules préfèrent écouter les fous plutôt qu’les savants
(Fond'1mental (le x))
Rien à gagner, rien à perdre, j'en tire les mêmes conclusions
mes convictions sont sans confusion malgré les contusions
au final , rien a foutre du matériel
puisque je vais tout laisser, j'suis pas de ces fous qui matent derrière
au final je peux mourir puisque j'ai connu le don de la vie
puisque je l'ai transmis l'ami, connu le froid polaire la Transylvanie
des trous desquels j me sui relevé, des clous sur mes roues
connu la déroute , la joie sur mes routes
lorsque j'ai guéris d'anciens traumas, lorsque j'ai mis de coté mon mental
au final j’ me sens toujours seul, je me mens pas
au final je reste toujours aussi sensible donc j'en parle
au final je t'en veux pas même si j’en ai souffert
au final pardonnez moi si on s'est pas compris
j'ai toujours eu une une vision à part, j'voulais pas qu'on trime
j'veux aimer sans décevoir et donner sans recevoir
se voir vraiment est un devoir, un vrai visage que l'on tente de percevoir
----
(Fond'1mental)
le combat final , les pieds dans les flammes
l'espionnage , la fumée ( ad dukhan ) , al jassous
l'humain 2.0 épigénétique
sous étiquetage , sans éthique
mon sujet est profond, comprend qui comprendra la trame
le drap se jette , on apprend rien des drames /
je ne suis qu'un mendiant, je ne suis qu'un nomade
qui cherche le bout d'un miroir éclaté quasi innommable
le miroir de la vérité jusqu’à en avoir un morceau
pour le chercheur de science sache que la mort sauve
(AJT)
Encore plus de questions sans réponse à 30 ans qu’à 20
Route interminable, buts jamais atteints
La beauté d’la création brille comme l’étoile du matin
J’vise l’équanimité, devenir hors d’atteinte
L’envie est nocive comme l'absinthe, naturel, pas d’feinte
J’veux trouver l’issue dans ce labyrinthe
J’m’envolerais même si la porte de la cage est fermée
J’combatterais sans donner un seul coup, désarmé
Frissonnant devant l’infinité de l’espace/ temps
Distances insaisissable comme l'ère de Plank
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2. |
Le tout pour le tout
04:01
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(Fond'1mental le x)
comme s'il s'agit du dernier, on donne tout pour le tout
le fric , la zik , le shit , les flics , les filles un monde où tout tourne autour
a qui est ce le tour , la réalité matricielle primitive nous pousse
a fait de nous tous
des esclaves, animal qui manie mal
la gestion de la force obscure comme Tony et Mani man
en bas des tours ça prend des coups , sans détours les frères détournent
le réseau est en place ça crie "harra" ouais on s’dit tout
l'argent facile fascine , on donne le tout pour le tout
à la fin ça rafale en 11-43 on récolte le doute pour le coup
iblis est de la parti , les frères tah l'époque déconnent
décollent , ça plante le décor, à la fin on entoure des corps
les frères tablighs font le prêche, les tournées dans les quartiers
la résine planquée dans les crèches, entourée et bien gardée
le mal se tue avec l'amour comme dirait Ali
et moi j’dépeins une réalité comme Salvatore Dali
chez moi y'a les toxicomanes , les trafics de stups
la misère sociale fait que des nourrices s’décuplent
ya ceux qui travaillent pour les flics du sud, les indics en planque
les micros sous les voitures , les indices on plantent
(AJT)
valeurs inversées, monstres glorifiées
Kaïds sadiques devant un monde horrifié
Mecs fourbes, troubles, qui mènent des vies d’fou!
Qui tiennent dans la durée comme Difool
Fours lucratifs, guetteurs terrorisés
Gosses en Cayenne, zones ghettoïsés
Commande en drive au “Fourgeur King”
immense forêt de béton couleur grise
Douleur vive, Les looseurs tisent, décadence,
danse du feu, on trucident les balances
Réservoir de voix Bleu Marine
Faux plan argent facile, vraie famine
La ville prend l’allure d’un asile, kétamine
manque de sommeil, besoin d’vitamine
On prends pour réel c’qu’on s’imagine
Vie citadine, tout s’dynamite
On veut tous l’épée d’Excalibur
Héro providentiel quand l’Etat titube
Entre riches et pauvres, l’écart qui tue
les services publics qui capitulent
l’économie parallèle triomphe
Avec sa violence extrême, triste, sombre
Jeunes meurtris, choc post traumatique
Argent sale blanchi au lavomatique
Entre vice et vertus, vie acrobatique
Oligarchie aux airs démocratiques
Aliénés dans une (vie qui va trop vite
Arrogants comme Ibrahimovic
On peut mourir jeune: Brittany Murphy
Cœur libre, les ascètes prient la nuit, heure fixe
Soumis, les gens dilapident leur fric
Pendant qu’une élite consolide son mythe
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3. |
Les femmes de nos vies
04:21
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(Fond'1mental)
sur ta maman une larme sur les joues
Béni soit cette nuit où tu as vu le jour
tu étais une quête , un rêve réalisé
Mon cœur réanimé au sein d'une dur réalité
les enfants sont l'ornement de cette vie
un trésor incomparable remplaçant tout vide
tellement faible , mais en même temps tellement puissant
tellement pur , tellement fort et innocent, puissant
Dans mes recherches je t'ai donné le nom de l'étoile de la grande ours
Comme une lumière m’éclairant dans une grande course
Ta sœur elle porte le nom de la reine de Saba
Aimé de Salomon, C’est la guérison qui s'abat
au femmes de ma vie j'voulais dédier c'titre
A la foi j'veux qu'le vivant les destine
hommage a elle tellement magique lorsqu'elle m'aborde
personne ne peut quantifier ce qu'elle m’apporte
faudra être courageuse , la civilisation est en déclin
chaque jour est un cadeau , chaque jour un de nous s’éteint
travail avec vous sur le ressenti a défaut de l'intellect
j'construis pas votre matériel , cultive votre intérêt
autour du travail sur la foi et de l'intelligence innée
pas celle d'iblis pas celle du futur , du passé
en nous toute la science est cachée, faudra faire l'effort
bien ancrer ces fondements et les représenter fort
la sincérité dans l'intention, pour l'ascension faire attention
à développer l’amour pour la création .
travailler pour la justice le bon comportement l'humilité
comprendre qu'on est un dans la multiplicité
j'écris ce message comme si demain j’allais être un défunt
mon amour pour vous est éternel, ne connaitra n'y barrière n'y fin
(AJT)
Ton sourire m'apaise après une journée laborieuse
J'te vois joyeuse, J'te vois pétillante, J'te vois heureuse
J'te lis tchoupi l'soir, dans une lumière tamisée
Toujours à l'affût pour rire pour t’amuser
effrayée par un chien, tu peux vite baliser
dans les rayons d’jouets, tu veux tout dévaliser
Déguisée en blanche neige, en princesse, en chinoise
Au fil du temps on s'decouvre, on s'apprivoise
J't'eclaire le chemin et c'est toi qui décide où aller
Rire ou râler, t’es ma reine, personne pour t’égaler
Tu donnes un sens à mes choix quand j’pense m’égarer
Définitivement en connexion, rien n’pourra nous séparer
Instinct paternel, faut que j’te protège, que j’ t’arme
Couche tard, c’est chaud quand à 5 du mat’, tu brailles
pour affronter c’vacarme, à chaque exploit, j’t’acclame
Et tu chiales, je suis dans le flou, je suis devant le vague
tu trifouille le téléphone de maman, teste ses applis
tu marche en riant dans les flaques sous la pluie
Au calme dans ta cabane, ton coin d’paradis
Profite de ton enfance avant qu’les soucis te parasite
Tu verras, la vie sera à la fois douce ou abrasive
Je veux que tu maîtrises les trucs essentiels, les basiques
Qu’tu t’méfie des hypocrites au sourire en plastique
Fantastique, tu réchauffe mon cœur quand c’est l'antarctique
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4. |
Vide rudimentaire
04:40
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(Fond'1mental le x)
Hommage à l'humanité, car la route est raide
crois en tes rêves même enterrés
tu vois qu'il faut que je parle la frère / 3
le futur effraie transmet la peur mes principes les freinent /4
je juge pas ces gars qui partent a frêne /5
plus on avance plus les gens pensent a s'jetter par la fenêtre
pourquoi ? car la vie est dure
le système impose ses règles et l’avenir est rude
acceptera tu les vaccins aux cristaux liquides?
la puce RFID ne sens tu pas qu'il y a un profond litige
l'humain mérite une médaille pour vivre son humanité
pas facile de se trouver dans ce flux d'informations
pas facile de comprendre le chemin de l'humilité
quand on s'est pas aimé , informe la nation
on culpabilise quand on ne sait pas pardonner
peut être qu'avant de prendre on devrait commencer par donner
Quand on cherche et qu'on trouve pas on apprend la patience
la mort nous libérera, nous fera parvenir la connaissance
depuis l'essence comprendre que rien ne commence
comprendre qu'en fait qu'il n'y a que lui qui commande
que le cosmos est la poussière perçue par la lumière du très haut
qu'en se détournant du vivant on s'attire les fléaux
au sein de la république maçonnique , les valeurs sont inversées
la décadence devient sacrée, la piété est a bannir en société
Refrain (Fond'1mental le x)
la quête est gigantesque
l'époque est elle un test ?
hommage a ceux qui trime dur frère
une vie rudimentaire
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5. |
Comme à l'ancienne
03:20
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(AJT)
Le même détachement vis à vis d’mes amis et ennemis
La maîtrise de soi ouvre des perspectives infinies
Impunis - des criminels meurent de vieillesse ou maladie
Nazis exilés en Bolivie, Ben Ali en Arabie
FRV, énergie intacte, toujours engagés
Traverse le temps avec un mic, d’la VHS au HD
ex confrères artiste partis en HP
carrières stoppées net, un goût d'inachevé
Dédicace à Sayko, session musique en nocturne
Je suis extatique comme un junk sous drogue dure
Tout dans l’émotion, loin des accords toltèques
technique et conscient, Molotov cocktail
Philosophes austères, Des killos d’s’strophes offertes
20 ans de Rap, je suis un Dinosaure, j’pose frère
avec plus de sagesse mais autant de vivacité
Déter comme un repenti qui fuit sa Cité
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6. |
Paix intérieure
03:32
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7. |
Les mains qui tremblent
04:50
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(AJT)
On a beau croire l’inverse, on n’a pas la maîtrise sur grand chose
J’voulais qu’mes parents soient fiers, réaliser des trucs grandioses
Dans cette vie et dans ce monde, seuls les morts se reposent
Les extrêmes s’opposent et des fanatiques s’explosent
Quand j’pense naïvement prendre d’l’avance, en fait, je recule
Panta rhei, la nature est parfaite, les choses se régulent, s’annulent
J’ai grillé des étapes, mis des points avant les virgules
Trouver son équilibre, c’est un constant travail d’Hercule
Je recherche l’air pur, mais c’est pollué partout
Mac Do, Amazon jusqu’aux villages papous
Entre potes, l'argent est l'ingrédient qui casse tout
Kaput, j'ai plein d’cartes en main mais aucun atout
A tour d’rôle, on fout l’feu à sa propre vie, à la fou
Foudroyés par le nihilisme, le cynisme des jaloux
Les temps sont durs pour les pacifistes fraternels
autodestruction de la terre mère, autocrates paternels
Néo monarques mégalos comme Poutine ou Erdogan
système inégal derrière un I Phone ou une paire de Nike
Mélomane depuis les premières rimes grattées à Villeurbanne
observateur des déviances de l’hommes comme sur Reeperbahn
Les indésirables désertent la route par peur d'se faire écraser, barges
S’faire taser, gazer à coup d’lacrymo, coupés au montage
Monde barge avec des cercueils sur l’monte charge
Chars d’assaut contre rêveurs fleurs aux fusils, sur leur nuage
C’est le naufrage du Titanic et il manque des canots de sauvetage
Labyrinthe infernal, la réalité ressemble au pire des cauchemars
On naît marqué avec des codes barres, sa ration, sa quote-part
Tu passeras à côté du bonheur à croire qu’la délivrance est autre part
(Fond'1mental le x)
Le système broie des vies, croit en du vide
le gens ne sont plus humains et ont du vis
des réseaux souterrains infiltrent la société
crée de la misère sociale , les soucis étaient
et seront l'intelligence artificielle c'est sauron
des gens meurent de froid en cette période hivernale
ça fait hyper mal , ils finiront dans des "faits divers" man
des jeunes se prostituent cherchant l’appât du gain facile
Puisque l'on conditionne la femme à un devenir, un objet qui fascine
d'autres le font car drogués au crack sur la colline
et c'est un cercle vicieux, abonné au drame et alcoolique
moqué il traque la moindre issue de s'en sortir
mais la dépendance tue les maigres espoirs sordides
certains divorcent aussi et c'est la chute , la descente
la violence, le traumatisme fabriquent de la démence
plus aucunes possibilité de voir ces enfants, la tête tout se bouscule
une décision arbitraire d'un juge et c'est une vie qui bascule
plus de liens familiaux , marginal social
le quotidien dormir dans des sous-sol ,faire des sous sales
marcher jour et nuit, mendier, prendre le bus, le métro
tuer le temps, chercher à manger, chercher des mégots
il y a aussi ce punk qui refuse l'esclavage, qui réfute le clivage
qui cherche a être libre , mais qui se construit sa cage
il y a les bons , les mauvais les gens qui les aident vraiment
les associations qui participent, les services sociaux qui détruisent
il y a les gens qui s'intéressent aux problèmes , des gens qui font semblant
des gens qui parlent avec le cœur, des gens qui parlent avec l'argent
sous directive du directeur ce jeune orphelin se fait frapper en foyer
il y a mêmes des réseaux pédocriminels envoyés qui les sacrifient au nom de quoi ?
c'est une autre analyse un autre débat, le réel une zone de non-droit
l'injustice est de tout part s'il y a des victimes y'a forcément des coupables
la réalité est dure faut apprendre a esquiver quand un coup part
c'est le combat entre l'équerre et l'compas, AJT j’crois que pour eux ça compte pas
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8. |
Le Jardin des peines 2
03:47
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(Fond'1mental "le x")
parfois je me sens aspirer comme pris par une force
du mal a respirer comme pris par une forme
de malaise au niveau de la cage thoracique
voir la mort et les ténèbres ça saccage tes racines
parfois j’repense a ce jardin blessé et triste
la ou plus rien ne poussait j'y ai laisser mes tripes
on a parcouru du chemin de 2007 a 2020
des wasswass inexprimable toujours envie d'en flinguer un
moi je te parle d’expérience de vie simple
la vie n'est qu'une épreuve j'te donne mon avis zink
la ou plus rien ne poussé j'ai rencontré le vivant
celui qui ne meurt jamais , celui qui s’est fait évident
connu l'enfer du jardin des peines
j’suis pas un gars festif , respecte le destin des paires
on comprend vite l'essentiel quand on a connu des pertes
dans les yeux de sohane et balkis j'ai reconnu des perles
le passé était trop dur les frères , j'ai ressenti le fer
laisse moi tranquille maintenant j'ai trop rempli les verres
j’suis venu te parler de nos vies avec la vision d'un ex autiste
comprend pourquoi mon art n'a pas de saveur exotique
des exercices intérieurs, des trauma qu'on exorcise
une aura particulière , une âme qu'on examine
(Fond'1mental le x)
J’délaisse ce monde comme ceux qui ont en compris le sens
En effervescence primitif l'humain court après le sang
La technologie sans conscience nous mène droit dans un mur
Cœur dur , la larme ne coule plus le diable murmure
Immature on succombe à ce qu'il susurre : des insanités
Les entités néfastes voudraient qu'on sombre c'est bien ça l'idée
par injustice ces enfants donnent leur dernier souffle
Le parfum des jardins de nos ruelles ont une odeur de souffre
Ce monde par en fumée, HPI ont devrait tous l’être
Au milieu du vacarme, reçoit ce couplet comme une douce lettre
Un mal être qu'une ultime errance comble
Chaque intention pesé le jour où on va Rendre compte
(AJT)
Mon jardin des peines est devenu un terrain vague
L'humanité va se crasher contre un mur sans air bag
Bagarres infinies à gaza, Kaboul et Bagdad
A Gotham, y’a beaucoup d’opportunistes mais peu de Batman
Manars précarisés, le dos brisé, quand c’est la quille
A qui la faute? Qui envoie au front des gars en treillis kakis?
Les ingrats retournent vite leur veste, insultent les harkis
trop d’guerres sans fin comme entre indiens et paki’
Les suprémacistes veulent se planquer dans l’maquis
même en temps de prospérité, la paix est rarement acquise
Dans l'jardin des peines, on creuse nos propres tombes
des galaxies au proton, le mystères d’l’univers reste profond
On fanfaronne sous le soleil, un répit entre 2 tempêtes
j’pète la forme, la rage de vaincre, malgré les défaites
Dans l’jardin des peines, les extrêmes cohabitent, s’affrontent
Les oubliés stagnent quand décollent ceux qu’on l’bras long
---
(AJT)
Rendre compte au moment de traverser l’autre rive-
de nos gloires et nos crimes, nos actes passés au crible
Chaque acte ici et maintenant va compter dans la balance
Entre les bons, les mauvais, j’vois au delà des apparences
Parent dans un monde où d’autres refusent d’enfanter
Comme hanté par un futur obscure, négativement commenté
Discours du retour au temps d’un paradis perdu, exalté
Histoire planétaire, poussière à l’échelle de la voie lactée
Pour survivre dans cette jungle, il faut constamment s’adapter
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9. |
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(Fond'1mental le x)
comme l'indien sur la vallée je médite sur nos conditions
l'humain peut il faire mieux ? la peur brise telle nos convictions?
la marque de la bête apparaitra elle ? verrais je des hologrammes dans le ciel ?
l'antéchrist ne serait il pas l'intelligence artificielle ?
les politiques veulent resserrer l’étau car les gens se questionnent
plus de répression je me méfie de la gauche franc maçonne
la politique est sournoise et vicieuse comme lors de la guerre de récession
l'esclave ne fut pas libéré mais mis en domestication
pourquoi acceptons nous le maitre et sa laisse
dieu nous a fait libre, l'addition est salée
connais tu le projet MK ultra le projet blue beam agressif
les messages subliminaux gère l'inconscient collectif
les 666 infiltrés lors du protocole de Toronto par serge Monast
mon rap une propagande, ne me demande plus comment j'me sers de mon art
Les religieux de ce monde manquent de sincérité
j'n'arrive plus à créer l'équilibre , cherche t-on dieu ou le pouvoir?
celui ci ne sera jamais a coté d'un cœur hypocrite
la vie est courte, la vrai connaissance ne traverse pas l' hypophyse
mais touche le cœur de gens vrais
la vérité et son chemin demande courage a travers les soucis que l'hombre pourraient engendrer
et quant est il du défi du vivre-ensemble?
le capitalisme nous individualise au point qu'on finissent ivre en cendres
laissez moi m'élever du béton je vise les étoiles et le communique
Et vu qu'ici chaque âme est vu comme unique
Chacun a son rôle a jouer et une destinée à mettre en avant ,
L'humain va dans un mur , pourtant il croit qu'il avance
Disons qu'il avance dans le mur l'égo régit les actions
Et le pouvoir en place définit l'exaction
Aucun parti ne me représente vu que personne ne cherche l'amour
Pourtant c'est l'unique chose qui peut éteindre le mal
Pourtant pour construire leur ordre ils ont mis tout en œuvre
Car tout le monde est dans l'égo comme je l'ai dit tout à l'heure
Les médias streaming sont influencés, C News BFM
Et la débilité ambiante, se traduit sur la FM
Alors on se dirige vers quoi vers la France à Le Pen ?
Parce qu’ils fabriquent le consentement , manipulent nos peines
Investisse des milliards pour le "Hell on Hearth"
A leur vrai soit ils veulent pas faire honneur Travaille sur l'implantation robotisé comme Elon Musk
(AJT)
Détendu, détaché, si petit devant de si grandes étendues
Des douleurs que je portent mais je ne les sens plus
Lune lumineuse et ciel étoilé me rappelle mon insignifiance
Frisson devant l’univers infini, un vide immense
Distance dans l’espace/ temps qui atténue la souffrance
France en eaux troubles, sous menace terroriste tout l’temps
Lanceur d’alerte, libre penseur comme Julian ASSANGE
Soumis à la loi du Karma, sous l’œil des archanges
Le succès ne sourit pas forcément aux plus méritants
tentations permanentes, entre bien et mal, hésitant
Tous uniques donc y’a pas d’but évident
Lutte trépidantes, lutte de Titans, défi excitant
J’endure la souffrance comme un renonçant pénitent,
J’aspire à la plénitude majestueux tel un pélican
Spirituel et rationnel, croyant non pratiquant
Déiste sans église, loin des dogmes du Vatican
"Cantique des cantique rap" dans une monde post Covid
où les collapsologues veulent vivre comme des troglodytes
Dans ce "monde d’après", nous sommes des cobayes, des prototypes
les enfants du futur naîtront peut-être sans sperme ni ovocyte
La terre meurt, le GIEC prédira bientôt l'autopsie
Guerres et paix en dent d’scie, un virus corrosif
Vif comme l'éclair dans un monde sombre comme la matière
où les pauvres marchent et les nantis voyagent en classe “affaire”
Quand la nuit tombe, les loups qu’ont les crocs rôdent
Envieux des pseudos gagnants qu’ont les bons rôles
Le climat change, on voit les dégâts collatéraux
terreau haineux fertile, faut qu’on reparte de Zéro
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10. |
Virées nocturnes
04:43
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(AJT)
Phénix, un être peut ré-apparaitre comme Jésus Christ
C’est pas cette vie ici bas qui nous livrera une vraie justice
Lucide, j’analyse les signes, décrypte les non-dits, les silences
La combinaisons de milliers paramètres rend logique les coïncidences
Dans mes virées nocturnes de jeunes adultes j’ai erré des kilomètres
chercher un peu d’chaleur, aligné 3 mots d’anglais à des filles au paire
Belle comme J Lopez, perdu - trop d’options de vies différentes
sur un banc, sous la pluie battante, les soirs où j’ai pris des vents
Déviant en quête d’nouveauté, dans la gueule du loup, d’ses coups montés
témérité suicidaire, des destinées tragiques à raconter
Sans compter, les artistes torturés passés en HP au Vinatier
En marge d’la réussite, parcours qualifié de vie ratée
piratée par ses propres esclaves, la matrice est sclérosée
visions d’experts fossés, mythos surdoués, Kaiser Söze
Virée nocturne, oscillant entre excitation et résignation
Mélange d’action et de contemplation, de baston et de méditation
j’pensais musique H24 ou presque, clairement obsessionnel
Commercial pour FRV, musical concessionnaire
Souriant, ton débonnaire, ces moments c’était du bonheur
J’avais ma feuille de route, mes limites, mon code de l’honneur
(Fond'1mental le x)
Te souviens tu de ces soirées sur les bancs frère
A cauchemarder les yeux ouverts ou à rêver à rien faire
Le destin nous fait passer par moult chemins
Ça a construit nos principes ,ça nous a rendu humains
Est ce que tu les regrettes, est ce que tu en es nostalgique toi ?
On a connu le mal-être, à cette époque je cherchais une voie
Après un violent trauma a suivi un éveil brutal
J'ai cherché à calmer cette vague d'émotion me suis nommé fond1mental
J'ai cherché l'amour j'ai souvent trouvé l'inverse
Incompréhension globale goûté au soleil, souvent à l'averse
J'ai trouvé du réconfort auprès des frères en marge de l'argent
Les gens ne me comprenaient pas, je comprenais pas les gens
J'ai écris nuit noir alcoolisé sur un banc blouson de cuir
Préparer nos concerts de Couzon à Cuire
Connecté le poto Sayko , déguster les mélodies de piano
Bonnet noir comme à l'époque du rat Luciano
---
(AJT)
Dans l’froid hivernal à freestyler sur des bancs dans des squares
Naïvement encensés par des mythos qui vendaient d’l'espoir
Auto-puni à rejeter les règles, marcher dans la marge
Lacher des pavés dans la marre, Fâchés, dans la rage!
C’est quelques déceptions mais beaucoup de barres de rire
Un mélange contradictoire d’euphorie et d’mal de vivre
|
||||
11. |
Le poid du silence
03:41
|
|||
J'écris les pensées qui me traverse /
Mes joies , mes erreurs mes travers /
Je pense donc je suis , j'affronte où je fuis /
29 08 84 j’vois le jour /
J'en pleure car les rayons de la vie sont sans abat-jour /
je porte génétiquement les blessures de mes ancêtres /
je pense à mon arrière grand père que les traumas encerclent /
mort seul après la guerre victime d'image destructrices /
j’pense aux cicatrices , a ceux que les psy attristent /
je pense à ma grand mère qui a vécu seul qui a assumer /
je pense a c'qu'on a réussit et a c qui nous a consumer /
j’pense a ma jeunesse parti en joint de fumée /
au temps ou me suis tu au temps ou j’ai parlais /
j’pense aux fois ou le monde ma tourné le dos /
j me suis rarement trahi , j’analysais nos maux /
j’pense au brouillard , j’pense aux amis que je ne vois plus vraiment /
j’pense a être dans l’instant a cque j’aurai pu faire autrement /
Je suis moi et eux tous a la fois /
Je suis lui je suis toi /
refrain
au fond de moi quand j’y pense
on porte le poids du silence /
l’histoire est marqué dans nos gènes
la pour résoudre ces problèmes /
j’pense au temps qui s’écoule a la mort qui m’attend
j’pense à la lumière aux ténèbres à mes 20 ans
je pense à la famille résistante de la guerre d'Algérie
des personnalités publiques devenu égéries
j’pense à toutes ces causes aux conséquences multiples
je porte toute l'histoire dans mes gènes j’voulais t’en parler et t'être utile
je suis le sourire je suis les pleurs
je suis celui qu'il faut nourrir lorsque a peur
je porte mon patrimoine qui parfois me mutine
nous sommes en 2000 et les questions me mutilent
Je suis pale et me morfond dans le mutisme
je roule en roue arrière crevée sans rustine
je cherche et ne trouve pas , annonce le début de ma disserte
divorce du système et discerne une réalité ou le visse ère
ou on se demande a quoi le fils sert
dieu m’attire a lui je le sens dans mes viscères
je suis la complexité de ce monde intérieur
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