Refrain [Fondzy]
C'est mon style de vie, hostile devine
Au système vampiresque rempli de vices
Faut si tenir, possible de rire
En oubliant la matrice des années deux milles
[AJT]
J'déplais aux mal lunés, défaits, tétanisés
Dans des caisses métallisées
J'veux l'pète légalisé, Le Pen pénalisé
Ca m'plaît d’analyser quand la fête est annulée
Style de vie hyper actif, la phobie de l'oisiveté
Soif de savoir névrotique, j'apprends vite, décortique c'décors triste
Mec en ballade, restant affable
A chaque étape, constant et stable
Travailleur consciencieux, trop d'rappeurs contents d'eux
J'suis un brailleur non envieux, un farceur, comprends que
On bosse comme des Stakhanovistes
Taf grave nos rimes, lascars polis
Rêve de bain de foule, en Papa mobile
Les mots comme pâtes à modeler, laxes, amovibles,
J'parque ma valise, pour la Patagonie
Fuis les aigris qui parlent d'agonie
Mon style de vie est fait d'excès modérés
besoin d'soupape pour s'aérer
S'fédérer, matériel onéreux
Loin d'ces âneries, j'suis un homme heureux
L'âme sereine, j'évite les commérages
Des camarades jaloux comme des rats
J'admire ceux qui défient la Comorra
Guidés par leur code moral
Refrain [Fondzy]
[Fondzy]
Le monde n'existe n'y devant un écran n'y derrière ta fenêtre
On ouvre sa conscience a travers des livres qu'on feuillette
Mon livre est immaculé de fautes, à l'erreur en proie
Imparfait , j'admire la grandeur de celui qui vit sans endroit
Humanité sans véritable sens , si ce n'est dans le dépassement de l'acte de bien
J'peux mourir à l'instant sans biens
J'écris des mots pour combattre mes démons, psychanalyse analysée
J'demande pardon pour l'homme, une pensée aux p'tits paralysés
J'apprend l'humilité enseignée dans les livres de paix
Tellement serein, même en étant ivre de peine
Une conséquente dédicace au pire qui reste a venir
On annonce une 3 ème guerre mondial, un avenir à vomir
Mais on reste in-brisable, mentalité de fer
Affronte la destinée des derniers guerriers de l'enfer
Sache que la lumière n'éblouit pas les yeux de l'esprit
Les sens ouverts à l'ouverture des cieux, à la descente des écrits
L'impatience est la clé de nos destructions mentales et physiques
La jalousie marquée en noir, malheur à qui porte son effigie
On ignore le pouvoir du commun, le pourquoi du comment
On commente nos vies en oubliant qui tient les commandes